En face de São Vicente, à une heure de ferry de Mindelo, Santo Antão la belle. Nous prenons un aluguer (un taxi collectif) jusqu’à notre logement à Ribeira de Paúl (Aldeia Jerome) entouré de bananiers et de plants de canne à sucre.
Auteur de livres pour enfants dans le civil, Orazio, le propriétaire, est un admirateur de Jerome K. Jerome, que les apprentis anglicistes ont connu (dans un autre temps, peut-être) à travers son œuvre « Trois hommes dans un bateau » ; « il a attribué à ses chambres des noms évocateurs qui ne laisseront pas indifférents les amateurs de voyages et d’aventures venus parcourir l’une des plus belles vallées du Cap Vert » (d’après son site).
L’île de Santo Antão est un bonheur pour les randonneurs qui ont des gènes de mulets. Partout des falaises accores qui surplombent l’océan, des abîmes vertigineux, des pics affûtés, des gouffres insondables, des routes pavées s’élevant en lacets serrés vers les sommets ou descendant vers les rares bandes côtières où déferle la houle puissante de l’Atlantique, l’ensemble dans un écrin de verdure qui tranche avec les collines pelées de São Vicente.
L’exploitation touristique et le niveau de vie sont à la mesure du caractère grandiose du site.
Chers Michele et Patrice,
Quelle belle île sauvage ! Ces sommets pointus, ces gouffres, cette végétation très verte, c’est vraiment très beau ! Y a-t-il beaucoup de touristes pour profiter de toutes ces merveilles et faire vivre les habitants ?
C’est un complet dépaysement pour vous qui, au vu des photos, a l’air de bien vous convenir. C’est super !
Gros bisous,
Martine
quelle île magnifique ! nul doute qu’elle sera sur la route de Noa Noa (ex Edith Jane II)
Bon vent !