Chanson n’ayant pas fait l’objet d’un enregistrement sonore
Paroles et musique de Patrice GEFFROY
Chanson n’ayant pas fait l’objet d’un enregistrement sonore
Dans l’Administration
Y a des toutous
Qui en tout et pour tout
Ont une passion
Ils adorent faire le beau
Contre une caresse
Tous les jours ils s’empressent
En bons cabots
Chacun de ces toutous a un gros nonos
Que les autres aimeraient bien lui subtiliser
Mais il se plaint au maître et devient féroce
Quand on fait simplement mine de s’approcher
Pour chacun des toutous y a un territoire
Qu’ils compissent chaque jour avec grand amour
Et gare à celui qui se trompe d’urinoir
Ils aboieraient si fort qu’il en deviendrait sourd
Dans l’Administration
Y a des toutous
Qui en tout et pour tout
Ont une passion
Ils adorent faire le beau
Contre une caresse
Tous les jours ils s’empressent
En bons cabots
Quand le maître crie très fort les toutous se cachent
Quand le maître est content ils remuent la queue
Quand le maître dit au pied les toutous se couchent
Mais au fond rien n’est grave il suffit de dire ouaf
Le plus pire des toutous c’est le chef toutou
Qui a le ventre usé comme un vieux soulier
Il est très prudent et même plutôt filou
Car il aperçoit au loin de hauts sommets
Dans l’Administration
Y a des toutous
Qui en tout et pour tout
Ont une passion
Ils adorent faire le beau
Contre une caresse
Tous les jours ils s’empressent
En bons cabots
Un beau jour les toutous ont vu un matou
Passer par la fenêtre du bureau du maître
Ils n’ont pas apprécié ce doux rendez-vous
Et se sont concertés pour punir le traître
Les toutous croyaient que ce serait l’hallali
Jusqu’à ce que le matou fût nommé grand chef
Alors ils sont venus lui lécher la patte
Oubliés les griefs seul importe le fief
Dans l’Administration
Y a des toutous
Qui en tout et pour tout
Ont une passion
Ils adorent faire le beau
Contre une caresse
Tous les jours ils s’empressent
En bons cabots
Dans l’Administration
Y a des toutous
Qui en tout et pour tout
Ont une passion
Ils adorent faire le beau
Contre une caresse
Tous les jours ils s’empressent
En bons cabots